Immobilier Côte d'Azur : prix stables et reventes en baisse (-5%) en 2018

Posté jeu 17/01/2019 - 09:00
Par admin

La FNAIM Côte d'Azur a tiré un premier bilan de l'année immobilière 2018 à l'occasion d'un point conjoncture. Pour Cyril Messika et William Siksik, les deux co-présidents, les prix sont restés stables contrairement à beaucoup d'autres métropoles françaises tandis que le nombre de transactions a légèrement baissé (-5%) par rapport à une année 2017 exceptionnelle.Stabilisation des prix, tassement du nombre des reventes : c'est le premier bilan immobilier 2018 qu'ont tiré Cyril Messika et William Siksik, les deux co-présidents de la FNAIM Côte d'Azur. En ce qui concerne l'activité, pas de catastrophisme : le nombre de transactions n'a connu qu'une petite baisse de 5% par rapport à 2017, qui avait été une année exceptionnelle en nombre de ventes depuis la crise de 2008. Côté prix, ils sont restés stables sur la Côte d'Azur, au contraire de ceux de la plupart des métropoles françaises, qui ont continué leur progression. (Photo DR : à gauche, William Siksik et Cyril Messika). Quant aux perspectives 2019, elles restent dans cette ligne 2018. "Au plan économique, la FNAIM Côte d’Azur ne prévoit ni ralentissement du marché, ni hausse des prix", ont noté les deux co-président mardi lors du premier point conjoncture de l'année à Nice." L’indicateur essentiel à surveiller sera celui du taux d’emprunt immobilier, qui devrait légèrement augmenter". "Au plan politique, la FNAIM Côte d’Azur espère que, dans le grand débat national voulu par le Gouvernement, la question légitime du pouvoir d’achat des Français ne se cristallisera pas autour de la détention de la propriété immobilière. En effet, la détention d’un bien immobilier qui prend de la valeur d’année en année ne se traduit pas forcément par l’augmentation du pouvoir d’achat de son propriétaire. Il ne faudrait pas que le Gouvernement, pour calmer la grogne sociale, distille des messages stigmatisants ou contradictoires vis-à-vis du logement privé". "En ce sens, les récentes évocations de la remise en cause du caractère universel l’exonération de la taxe d’habitation ou de l’augmentation des droits de succession ne sont pas de nature à rassurer les propriétaires immobiliers ou les candidats acquéreurs." Dans ce tableau, on retrouvera dans le détail, suivant les principaux secteurs, le bilan 2018 de l'année immobilière.

Siksik et Messika coprésidents FNAIM06

Stabilisation des prix, tassement du nombre des reventes : c'est le premier bilan immobilier 2018 qu'ont tiré Cyril Messika et William Siksik, les deux co-présidents de la FNAIM Côte d'Azur. En ce qui concerne l'activité, pas de catastrophisme : le nombre de transactions n'a connu qu'une petite baisse de 5% par rapport à 2017, qui avait été une année exceptionnelle en nombre de ventes depuis la crise de 2008. Côté prix, ils sont restés stables sur la Côte d'Azur, au contraire de ceux de la plupart des métropoles françaises, qui ont continué leur progression. (Photo DR : à gauche, William Siksik et Cyril Messika).

Quant aux perspectives 2019, elles restent dans cette ligne 2018. "Au plan économique, la FNAIM Côte d’Azur ne prévoit ni ralentissement du marché, ni hausse des prix", ont noté les deux co-président mardi lors du premier point conjoncture de l'année à Nice." L’indicateur essentiel à surveiller sera celui du taux d’emprunt immobilier, qui devrait légèrement augmenter".

"Au plan politique, la FNAIM Côte d’Azur espère que, dans le grand débat national voulu par le Gouvernement, la question légitime du pouvoir d’achat des Français ne se cristallisera pas autour de la détention de la propriété immobilière. En effet, la détention d’un bien immobilier qui prend de la valeur d’année en année ne se traduit pas forcément par l’augmentation du pouvoir d’achat de son propriétaire. Il ne faudrait pas que le Gouvernement, pour calmer la grogne sociale, distille des messages stigmatisants ou contradictoires vis-à-vis du logement privé".

"En ce sens, les récentes évocations de la remise en cause du caractère universel l’exonération de la taxe d’habitation ou de l’augmentation des droits de succession ne sont pas de nature à rassurer les propriétaires immobiliers ou les candidats acquéreurs."

Dans ce tableau, on retrouvera dans le détail, suivant les principaux secteurs, le bilan 2018 de l'année immobilière.

 

  • Marge de négociation : différence entre le prix du mandat (prix demandé par le vendeur) et le prix auquel la vente de l’appartement est signée.
  • Délai d’écoulement : nombre de jours entre la signature du mandat (mise en vente du bien) et ladate de la signature de la vente de l’appartement.
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