Le Train Alzheimer 2011 en gare de Nice mercredi

Posté lun 26/09/2011 - 18:32
Par admin

Le Train Alzheimer 2011 sera en gare de Nice le mercredi 28 septembre. Difficile de passer à côté sans le voir. Long de 375 mètres (soit près de deux TGV) il est composé de 14 voitures, dont 7 sont consacrées à la maladie, à la recherche, aux actions et solutions proposées en régions. Une voiture est réservée pour les "Conférences", une autre pour les "Réceptions" et les cinq autres pour l'intendance.

Parrainé cette année par Patricia Kaas et Claude Lelouch, il sera ouvert au public de 9 à 19 heures. Ce convoi exceptionnel a été inauguré le 21 septembre en gare du Nord, à Paris, en présence de Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale. Jusqu’au 6 octobre, il fera étape dans 15 villes française pour permettre à des spécialistes d’expliquer la maladie au grand public, rappeler le rôle des aidants et faire le point sur les recherches en cours. Venant de Lyon, il repartira pour être jeudi en gare de Marseille.

La pathologie est abordée sous six aspects différents :

  • Comprendre la maladie d’Alzheimer
  • Vivre avec au quotidien
  • L’implication des aidants
  • Le point sur la recherche
  • Les nouveautés 2011 : les apports de l’imagerie cérébrale et les actions menées dans les régions

Le Train fera en particulier le point sur le Plan Alzheimer 2008-2012 : les 44 solutions du Plan sont destinées à améliorer la qualité de vie des malades et de leur famille, accélérer la recherche et faire de la lutte contre cette maladie un enjeu de société.

Un sondage Opinion Way a d'autre part été réalisé à l'occasion. Parmi les éléments mis en relief :

  • La majorité des Français estiment ne pouvoir s’occuper d’un proche atteint de la maladie qu’à temps partiel.   
  • On constate que les Français impliqués sont ceux concernés par la maladie, majoritairement des seniors (65 ans et +).   
  • Les familles en mesure d’aider leur proche, le peuvent mais cela moyennant une aide ; à savoir : un aidant professionnel en priorité, un centre d’accueil ensuite et enfin une aide financière (critère + important pour les jeunes). "On s’étonne alors que la question financière arrive en 3ème position mais cela est logique car les plus concernés par ce frein sont les jeunes et se sont eux qui ont majoritairement sélectionné le soutien financier (27% des 25/34 ans)", expliquent les spécialistes.   
  • Il est alors question de mieux informer les plus jeunes sur la maladie et ce que cela implique.

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