L'INRIA Sophia en pleine croissance
L'INRIA Sophia Antipolis devrait connaître un très fort développement dans les trois années qui viennent. L'Unité de recherche sophipolitaine de l'INRIA (environ 450 personnes) devrait augmenter ses effectifs d'environ 50% sur cette période (fonctionnaires pour l'administration, mais surtout chercheurs, ingénieurs à temps plein ou temporaire, thésards, etc). Les recrutements ont d'ailleurs déjà commencé. Pour faire face à cette poussée, l'INRIA a loué 1.000 m2 de locaux à proximité de son emplacement actuel, dans les nouveaux immeubles de la Cogedim. Le temps de réaliser la construction de nouveaux bâtiments dans son périmètre actuel.Parallèlement l'INRIA veut développer ses relations avec le milieu industriel régional. Arrivé cet été, le directeur Michel Cosnard a lancé un club de partenaires industriels. Les relations à l'international seront également développées. Martine Béroud, qui était en poste à l'UNSA (Université Nice Sophia Antipolis), est passée à l'INRIA et a été spécialement chargée des relations internationales. Le turbo actuellement mis aux activités de l'INRIA est une bonne nouvelle pour la technopole et la Côte d'Azur high tech. L'INRIA depuis plus de dix ans a été notamment le berceau de plus d'une dizaine de start-up remarquables comme Ilog, Simulog, Realviz et plus récemment Activia Networks, UDCast, etc.
