Pour la seconde année consécutive, le Conseil Général des Alpes-Maritimes met en place pour cet été un dispositif de détection satellitaire des pollutions marines. Grâce aux images radars de notre zone littorale transmises par deux satellites captés par une station implantée en Norvège, la moindre nappe susceptible dengendrer une pollution sur nos côtes est détectée. Les images parviennent ensuite à Sophia Antipolis où la société ACRI les analyse et parvient à calculer la dérive de ces nappes dhydrocarbures. Les autorités compétentes ont alors le temps de prendre les mesures nécessaires pour préserver le rivage azuréen. Philippe Bardey, PDG de la société ACRI, nous indique comment ce dispositif fonctionne.
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L'éco de la Côte.