Agression dans le TER Nice-Lyon : l'affaire prend un tour politique

Posté jeu 05/01/2006 - 00:00
Par admin

Les agressions du 1er janvier dans le TER Nice Lyon en gare de Draguignan-Les Arcs, débouchent sur le terrain politique. L'affaire a été évoquée par le président de la République Jacques Chirac qui a estimé que ces violences étaient "totalement inacceptables". Yahoo d'autre part, évoque les critiques qui se sont élevées à l'encontre de Nicolas Sarkozy et la réaction du ministre de l'Intérieur (voir l'article "Train Nice-Lyon: attaqué sur l'insécurité, Sarkozy se défend").Dans le Nouvel Observateur, François Hollande "dénonce "la défaillance du gouvernement" après les agressions dont ont été victimes les passagers du train Nice-Lyon le 1er janvier" Pour le Premier secrétaire du Parti Socialiste, cité par l'hebdomadaire "Que des centaines de personnes, sur une ligne de transport largement fréquentée en fin de vacances de Noël, aient pu être exposées à des vols, des violences, et même des agressions sexuelles, est déjà insupportable. Mais qu'en plus, tous les dispositifs d'alerte, alors même que des incidents s'étaient déjà produits la veille, aient été pris en défaut, provoque l'étonnement et la colère" (Agression sur le Nice-Lyon: François Hollande dénonce "la défaillance du gouvernement").On lira également dans Metro le scénario des événements du 1er janvier 2006 ("Les violences survenues dans le Nice-Lyon étaient prévisibles"). Metro, dans un autre article, souligne que "les responsables des forces de l'ordre ont reconnu avoir escorté dimanche matin en gare de Nice et laissé partir une centaine de jeunes Marseillais venus fêter le réveillon sur la Côte d'Azur grâce au billet à 1,20 euro offert par la SNCF et la Région Paca à l'occasion du nouvel an". Dans "Un train qui fait des vagues", le quotidien gratuit insiste aussi sur le côté politique que prend cette affaire.

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