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Air Lib : une réponse de l'Etat "dans les tout prochains jours"

Air Lib peut-il reprendre au moins le paiement de ses charges courantes (fisc, URSSAF, taxes aéronautiques) ? Peut-il, au minimum, éviter d'agrandir un "trou" financier évalué actuellement autour de 110 à 120 millions d'euros (le prêt de 30,5 millions de francs et 80 à 90 millions d'euros de charges impayées) ? C'est autour de cette question que se joue le sort de la compagnie. Gilles de Robien, ministre qui a en charge les Transports, après que le conciliateur du Tribunal de commerce de Créteil, Me Hubert Lafont, ait été reçu hier soir, mercredi, a évoqué deux hypothèses : "soit vous reprenez les paiements courants et vous montez votre projet d'entreprise pour l'avenir; soit vous ne pouvez pas reprendre les paiements courants et dans ce cas il faudra en tirer les conséquences".C'est donc sous cet angle que seront étudiées les propositions remises par le conciliateur. Le ministre a déclaré que le gouvernement donnerait sa réponse "dans les tout prochains jours". Cette "ouverture" (auparavant le gouvernement exigeait le paiement de la dette publique au 9 janvier 2003) avait déjà été faite lundi alors que l'intervention du conciliateur était demandée. Gilles de Robien avait alors déclaré que l'Etat pouvait envisager le remboursement de sa créance dans les prochains mois ou les prochaines années, mais que les versements des charges courantes devaient reprendre.


Air Lib peut-il reprendre au moins le paiement de ses charges courantes (fisc, URSSAF, taxes aéronautiques) ? Peut-il, au minimum, éviter d'agrandir un "trou" financier évalué actuellement autour de 110 à 120 millions d'euros (le prêt de 30,5 millions de francs et 80 à 90 millions d'euros de charges impayées) ? C'est autour de cette question que se joue le sort de la compagnie. Gilles de Robien, ministre qui a en charge les Transports, après que le conciliateur du Tribunal de commerce de Créteil, Me Hubert Lafont, ait été reçu hier soir, mercredi, a évoqué deux hypothèses : "soit vous reprenez les paiements courants et vous montez votre projet d'entreprise pour l'avenir; soit vous ne pouvez pas reprendre les paiements courants et dans ce cas il faudra en tirer les conséquences".

C'est donc sous cet angle que seront étudiées les propositions remises par le conciliateur. Le ministre a déclaré que le gouvernement donnerait sa réponse "dans les tout prochains jours". Cette "ouverture" (auparavant le gouvernement exigeait le paiement de la dette publique au 9 janvier 2003) avait déjà été faite lundi alors que l'intervention du conciliateur était demandée. Gilles de Robien avait alors déclaré que l'Etat pouvait envisager le remboursement de sa créance dans les prochains mois ou les prochaines années, mais que les versements des charges courantes devaient reprendre.

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