Biot : Valimmo pose la 1ère pierre d'un programme de bureaux nouvelle génération

Construit sur le dernier terrain de la ZAC Saint-Philippe à Biot, pour une livraison en juillet 2021, ce bâtiment de 3.600 m2 est dimensionné pour recevoir entre 300 et 350 postes de travail. Il permettra de travailler sur des plateaux de 250 m2 à 900 m2 avec deux niveaux de parking souterrains.

Immeuble Le Belvédère Biot

Des temps plus difficiles en vue pour l'immobilier tertiaire. Poussée par la pandémie Covid-19, la vague du télétravail va mathématiquement diminuer les besoins des entreprises en surfaces de bureaux. A Sophia Antipolis sans doute comme ailleurs. Cette tendance nouvelle mais forte fait monter un risque : celui d'une moindre demande en mètres carrés de bureaux et d'un stock de locaux disponibles qui se gonfle. (Photo DR : l'immeuble Le Belvédère, tel qu'il sera dans son environnement)

Le Belvédère à Biot : 3.600m² de bureaux et 800 m2 de terrasse

Ce risque est bien pris en compte par Valimmo. Mais le promoteur du territoire ne se décourage pas pour autant : il assume et vient de poser la première pierre d'un nouveau programme d'immobilier d'entreprise dans la technopole. C'est celui du Belvédère à Biot avec 3.600m² de surface de bureaux et 800 m2 de terrasse accessible donnant sur les Alpes.

Livré en juillet 2021, ce bâtiment est dimensionné pour recevoir entre 300 et 350 postes de travail. Il permettra de travailler sur des plateaux de 250 m2 à 900 m2 avec deux niveaux de parking souterrains. Cet immeuble est destiné à un mono utilisateur qui souhaiterait proposer à ses collaborateurs un environnement de travail exceptionnel et une forte visibilité en termes d’image. Pour anticiper les besoins des entrepreneurs locaux et de nouveaux modes de travail les surfaces sont aussi divisibles à partir de 250m².

Répondre aux nouvelles attentes des entrepreneurs du territoire

Construit sur le dernier terrain de la ZAC Saint-Philippe à Biot, anciennement propriété du Symisa, le Belvédère a été conçu en concertation avec les architectes du groupe Kardham et le service instructeur de la commune de Biot. Le pari de François Moison tient justement dans la conception d'un bâtiment qui puisse répondre aux nouvelles attentes des entrepreneurs du territoire. C'est ce que, dans un superbe environnement, promet Le Belvédère, immeuble écoresponsable de dernière génération.

Ce bâtiment bénéficie ainsi du savoir-faire écoresponsable de Valimmo grâce à l’intégration en toiture d’une structure photovoltaïque pour obtenir un bâtiment autonome en termes énergétiques. Cet immeuble de la dernière génération permettra, grâce à son dispositif de stockage d’énergie sur batterie, de diviser par quatre la facture de consommation électrique des entrepreneurs-locataires.

" La technopole de Sophia Antipolis" souligne François Moison, président de Valimmo, illustre parfaitement notre ambition de créer des programmes immobiliers responsables adaptés aux besoins des entrepreneurs du territoire, au renouvellement de l’offre de bureaux de la zone et au besoin de développement économique." C'est ce que le groupe a déjà fait avec Les Aqueducs, Actipark et le Garden Space. C'est aussi ce qu'il compte faire sur sa prochaine opération, suite au rachat du site de Dow France en "joint venture" avec un autre promoteur du territoire, Courtin Real Estate.

François Moison : "ce qui va souffrir à Sophia, c'est l'immobilier ancien"

Image
François Moisan

La nouvelle donne en cours ? François Moison l'a bien sûr en tête. Mais si pour La Défense à Paris, il est estimé que les entreprises réduiront leurs surfaces de bureau de 30% avec le télétravail, le président de Valimmo ne pense pas que la situation soit la même sur la Côte d'Azur. "La crise sanitaire, justement, a renforcé l'attraction des métropoles où il est possible de disposer de logements plus grands. Et si le télétravail se renforce, les entreprises ont aussi besoin d'un lieu où leurs salariés puissent travailler et se rencontrer."

"Mais encore faut-il que les entreprises mettent à leur disposition des espaces où ils ont envie de venir travailler. C'est ce que nous cherchons à faire avec des bâtiments dans lesquels rentre la lumière, qui disposent de terrasses, d'espaces de convivialité et de services, d'un environnement agréable. Dans la technopole, beaucoup de bâtiment anciens n'offrent pas cela. Ce sont parfois des passoires énergétiques, sans offre de services avec des bureaux mal adaptés. Oui, cet immobilier ancien qui n'a pas été remis à jour risque de souffrir".

 

Tags

Ajouter un commentaire