Si le Vélib a plutôt le vent en poupe dans toute la France, après s’être implanté avec succès à Paris, Lyon et Marseille, et avant d’arriver d’ici un an à Nice, son développement vient de subir un coup d’arrêt à Cannes. Après avoir étudié le dossier et lancé quelques expériences de mise à disposition de vélos au Port Canto et dans quelques parkings, la ville vient de renoncer à lancer un appel d’offres. Pour David Lisnard, le 1er Adjoint, le Vélib coûterait près de 500 000 euros/an aux contribuables cannois, pour un service finalement assez peu adapté à la géographie et à la sociologie de la ville. Toutefois, en attendant que les habitudes évoluent, Cannes va poursuivre son équipement en pistes cyclables.
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