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Cantonales : les candidats azuréens pour mars, canton par canton

Cantonales : les candidats azuréens pour mars, canton par canton

Les jeux ne sont pas faits pour les cantonales de mars 2008. Mais on connaît désormais ceux qui y participeront dans les Alpes-Maritimes. A l’issue du délai de dépôt de candidatures, voici l’état provisoire (sous réserve de leur enregistrement définitif) des candidatures reçues en préfecture des Alpes-Maritimes. Cliquez pour les consulter sur les documents attachés, l'un pour l'arrondissement de Nice, l'autre pour celui de Grasse, l'est et l'ouest du département. Les candidatures sont présentées dans l’ordre alphabétique pour chaque canton renouvelable (les conseils généraux sont renouvelés par moitié tous les trois ans).

Les jeux ne sont pas faits pour les cantonales de mars 2008. Mais on connaît désormais ceux qui y participeront dans les Alpes-Maritimes. A l’issue du délai de dépôt de candidatures, voici l’état provisoire (sous réserve de leur enregistrement définitif) des candidatures reçues en préfecture des Alpes-Maritimes. Cliquez pour les consulter sur les documents attachés, l'un pour l'arrondissement de Nice, l'autre pour celui de Grasse, l'est et l'ouest du département. Les candidatures sont présentées dans l’ordre alphabétique pour chaque canton renouvelable (les conseils généraux sont renouvelés par moitié tous les trois ans).

 

Pour les cantons de l'arrondissement de Nice il est possible de noter qu'on se bouscule sur la Côte et moins dans le haut pays. Il n'y a qu'un seul candidat sur les cantons de Sospel ou de Tende, trois à Breil-sur-Roya par exemple mais 10 candidats sur Nice 13 ou Nice 1. Les regards se sont portés aussi sur Nice 1, canton emblématique autour du port de Nice détenu par le socialiste Marc Concas et où le maire sortant Jacques Peyrat avait laissé plané l'éventualité de sa candidature, face à Eric Ciotti, le bras droit de Christian Estrosi qui a obtenu l'investiture UMP. Une éventualité à laquelle Jacques Peyrat a visiblement renoncé. Mais il y aura quand même du monde dans l'arène à l'assaut du siège de Marc Concas (PS, verts, RMC) avec des candidatures de tous bords, allant des Identitaires à la LCR en passant par le FN, le PCF, les communistes… A Saint-Etienne de Tinée, dans le haut pays, la situation est plus simple pour Christian Estrosi (UMP) qui se retrouve face à Emeric Lavitola (PS) sur un secteur qui, de prime abord, lui semble acquis.

 

Côté arrondissement de Grasse, tous les regards évidemment se portent sur Cannes où la situation explosive des municipales déborde sur les cantonales. Ainsi sur Cannes centre, l'œil du cyclone, le conseiller général sortant Philippe Tabarot, tête d'une liste concurrente à celle de Bernard Brochand, n'a pu se prévaloir non plus pour les cantonales du label UMP et part sous la bannière Divers Droite. Il se retrouvera face à l'UMP Christophe Santelli-Estrany, adjoint de Bernard Brochand lancé aux basques du "dissident". Mais Philippe Tabarot devra également affronter deux autres des têtes de liste des municipales cannoises : Jean Martinez (Sans étiquette) et Philippe Buerch (Divers droite). Sans oublier bien sûr Pierre Site, qui a mené une campagne active pour le PS mais se trouve lui-même concurrencé à gauche par Claude Meyffret du PCF. A ce titre, la "salade cannoise" vaut bien la "salade niçoise"…

 

Autre combat cannois à droite : celui qui opposera sur Cannes Est Jacqueline Héricord, la conseillère sortante, à David Lisnard, le bras droit de Bernard Brochand et vraisemblablement premier adjoint, si l'actuel député-maire de Cannes l'emporte en mars. Mais là, situation totalement opposée. Jacqueline Héricord court sous les couleurs UMP, tandis que son challenger de droite, David Lisnard s'est replié sur la bannière UDF-Modem. Bon. Sur Cannes Est, la situation n'en reste pas moins plus simple avec un quadrille qui se complète à droite par un candidat FN (Sébastien Copin) et à gauche, par un PS (Jean-Marc Raynaud).

 

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