Diana Krall a dévoilé son nouveau visage hier soir à Jazz à Juan. La pianiste et chanteuse canadienne qui s’est fait une solide réputation en reprenant les grands standards du jazz, mâtinés parfois de bossa nova, a décidé de changer de registre sur son dernier album à la faveur d’une plongée dans l’âge d’or du jazz où elle revisite des vieux succès des comédies musicales des années 1920-1930. Une métamorphose réussie qui lui a permis de séduire une nouvelle fois les spectateurs de la Pinède Gould.