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Corse-Matin : la grève des porteurs de journaux est terminée

La grève de Corse-Matin est terminée. Un accord a été signé hier soir, dimanche, à Nice entre la direction et les syndicats du groupe Nice-Matin. Un accord qui aurait pu d'ailleurs être entériné dès vendredi si une dissension n'était pas apparue entre d'un côté STC et FO et de l'autre la CGT sur un point relativement marginal : STC et FO voulaient signer un seul accord de "fin de grève"; la CGT s'arc-boutait sur la signature de deux accords distincts, l'un sur la fin de grève, l'autre sur le fond. Pour le reste, la négociation avait été scellée dès vendredi soir avec un accord sur les revendications salariales et, sur le dernier point qui bloquait : l'étalement des retenues des jours de grève sur 26 mois.Cette grève des porteurs de journaux, la plus dure que le groupe Nice-Matin ait affronté depuis une vingtaine d'années, avait commencé le 18 avril. Elle a touché la filiale Publinice qui emploie 115 personnes (les grévistes étant au nombre d'une cinquantaine) tandis que la parution de Corse-Matin avait dû être interrompue dès le 20 avril, le journal ne pouvant ni se faire dans de bonnes conditions, ni être distribué. Le tirage de l'édition Corse du quotidien avait repris jeudi dernier pour une remise en kiosque vendredi dans des conditions de distribution qui étaient cependant restées difficiles. Selon le directeur général du groupe Nice-Matin, Jean-Pierre Decaudin, le coût du conflit social se monte à 1,6 million d'euros.


La grève de Corse-Matin est terminée. Un accord a été signé hier soir, dimanche, à Nice entre la direction et les syndicats du groupe Nice-Matin. Un accord qui aurait pu d'ailleurs être entériné dès vendredi si une dissension n'était pas apparue entre d'un côté STC et FO et de l'autre la CGT sur un point relativement marginal : STC et FO voulaient signer un seul accord de "fin de grève"; la CGT s'arc-boutait sur la signature de deux accords distincts, l'un sur la fin de grève, l'autre sur le fond. Pour le reste, la négociation avait été scellée dès vendredi soir avec un accord sur les revendications salariales et, sur le dernier point qui bloquait : l'étalement des retenues des jours de grève sur 26 mois.

Cette grève des porteurs de journaux, la plus dure que le groupe Nice-Matin ait affronté depuis une vingtaine d'années, avait commencé le 18 avril. Elle a touché la filiale Publinice qui emploie 115 personnes (les grévistes étant au nombre d'une cinquantaine) tandis que la parution de Corse-Matin avait dû être interrompue dès le 20 avril, le journal ne pouvant ni se faire dans de bonnes conditions, ni être distribué. Le tirage de l'édition Corse du quotidien avait repris jeudi dernier pour une remise en kiosque vendredi dans des conditions de distribution qui étaient cependant restées difficiles. Selon le directeur général du groupe Nice-Matin, Jean-Pierre Decaudin, le coût du conflit social se monte à 1,6 million d'euros.

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