Equilibre Attitude : l'ISO 9001 comme tremplin

Posté lun 08/09/2003 - 00:00
Par admin

La société sophipolitaine de conception et distribution de compléments alimentaires à fêté sa certification ISO. Une certification dont Hervé George, directeur général (photo Une) compte se servir pour passer à la vitesse supérieure et attaquer le marché européen.

Equilibre Attitude, la société créée par Thierry Champoussin, dans le domaine de la conception et distribution de compléments alimentaires, est bien décidé à se servir de sa certification ISO 9001 comme d'un tremplin. C'est en tout cas ce que recherche Hervé George, directeur général, ainsi que cela a été rappelé lors de la réception donnée au Mediathel de Sophia Antipolis pour fêter la remise de la certification. Une réception à laquelle participait l'ensemble des quarante-cinq collaborateurs de cette société installée à Sophia Antipolis."A partir de cette certification, nous avons l'intention de travailler dans le développement durable et de rester en quête de l'excellence", , note Hervé George. "Nous allons développer le processus de la certification sur l'ensemble de la société et l'adapter au management de l'entreprise, à la stratégie de communication, et à la stratégie de développement. Nous sommes le premier laboratoire français de complément alimentaire à obtenir cette certification et nous tenons à le faire valoir."Equilibre Attitude (12,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2002 et 16 millions en prévision sur 2003) après avoir travaillé sur tous ses processus opérationnels vise l'export en 2004. Actuellement, la société travaille principalement sur le marché français avec quelques incursions sur le marché russe. "Pour devenir un laboratoire de référence en France et en Europe, nous avons entrepris de mieux structurer notre gamme de produits, de lui donner une plus grande lisibilité et de nous positionner comme une société travaillant à la fois dans l'innovation, la transparence avec un souci d'excellence. L'ISO 9001 est une étape vers cet objectif", conclut Hervé George.

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