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Immobilier : le marché s'est retourné aux Etats-Unis (Liberation.fr)

Le retournement du marché immobilier est déjà engagé aux Etats-Unis alors qu'en France, comme d'ailleurs dans la plupart des pays européens, on ne parle encore que d'atterrissage en douceur. Libé ainsi fait un point sur ce retournement qui, aux Etats-Unis, provoque déjà des faillites de sociétés de crédit. "Le prix moyen d'une maison aux Etats-Unis a chuté de 3,1 % en janvier par rapport à l'an dernier, et les ventes de logements neufs de 16,6 %, leur plus forte baisse depuis 1994. En janvier toujours, les mises en chantier de logements sont tombées de 14,3 %, le niveau le plus bas depuis dix ans. L'investissement des ménages américains dans la pierre a plongé de 4,2 % en 2006, le recul le plus rapide depuis la précédente crise du secteur, en 1991", note le quotidien. "La crise immobilière n'a pas été déclenchée par un relèvement des taux du crédit qui aurait étouffé la demande, mais par un excès de l'offre", est-il donné comme explication. "Aujourd'hui, 4 millions de maisons ne trouvent pas preneurs".

Le retournement du marché immobilier est déjà engagé aux Etats-Unis alors qu'en France, comme d'ailleurs dans la plupart des pays européens, on ne parle encore que d'atterrissage en douceur. Libé ainsi fait un point sur ce retournement qui, aux Etats-Unis, provoque déjà des faillites de sociétés de crédit. "Le prix moyen d'une maison aux Etats-Unis a chuté de 3,1 % en janvier par rapport à l'an dernier, et les ventes de logements neufs de 16,6 %, leur plus forte baisse depuis 1994. En janvier toujours, les mises en chantier de logements sont tombées de 14,3 %, le niveau le plus bas depuis dix ans. L'investissement des ménages américains dans la pierre a plongé de 4,2 % en 2006, le recul le plus rapide depuis la précédente crise du secteur, en 1991", note le quotidien. "La crise immobilière n'a pas été déclenchée par un relèvement des taux du crédit qui aurait étouffé la demande, mais par un excès de l'offre", est-il donné comme explication. "Aujourd'hui, 4 millions de maisons ne trouvent pas preneurs".

 

Certes les Américains continuent de consommer et l'économie est toujours en croissance. Mais les spécialistes estiment néanmoins que "le secteur des prêts à surprime est devenu plus inquiétant que celui des hedge funds ou fonds spéculatifs ­ accusés d'avoir provoqué la crise économique asiatique de 1997-1998".

 

Lire l'article de Libé : "L'immobilier se fissure aux Etats-Unis"

 

 

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