Ouvrir le menu
Logo WebtimeMedias
Ouvrir le menu
Flash
Flash :

Iter : l'Union européenne cherche toujours le compromis avec le Japon

Toujours pas de décision quant à l'implantation d'Iter, le projet de réacteur expérimental de fusion nucléaire. Vendredi, la réunion à Bruxelles des 25 ministres de la Recherche de l'Union Européenne s'est terminée par un appel à une recherche de consensus. Ainsi les ministres ont-ils mandaté officiellement la Commission européenne pour que, selon un communiqué, elle "fasse son maximum pour finaliser un accord entre les six pays partenaires du projet Iter, dans un futur très proche."Pour tenter de rallier le Japon à la construction du réacteur à Cadarache, les ministres de l'UE ont cherché à mettre en avant une nouvelle approche du projet, approche qui donnerait à Tokyo des contreparties. L'UE a aussi voulu éviter ce qui aurait pu ressembler à un ultimatum. Elle n'inscrit que dans un alinéa du texte de la réunion, la possibilité de construire le réacteur sans les tenants du site japonais de Rokkasho-mura (le Japon avec les Etats-Unis et la Corée du Sud) et de se lancer ainsi avec seulement le "nombre le plus large possible de partenaires" s'il n'y avait pas d'accord possible.Le choix du site d'implantation d'Iter continue donc de bloquer le projet. Alors que la décision était attendue pour février de cette année, on parle aujourd'hui du milieu de l'année prochaine.


Toujours pas de décision quant à l'implantation d'Iter, le projet de réacteur expérimental de fusion nucléaire. Vendredi, la réunion à Bruxelles des 25 ministres de la Recherche de l'Union Européenne s'est terminée par un appel à une recherche de consensus. Ainsi les ministres ont-ils mandaté officiellement la Commission européenne pour que, selon un communiqué, elle "fasse son maximum pour finaliser un accord entre les six pays partenaires du projet Iter, dans un futur très proche."

Pour tenter de rallier le Japon à la construction du réacteur à Cadarache, les ministres de l'UE ont cherché à mettre en avant une nouvelle approche du projet, approche qui donnerait à Tokyo des contreparties. L'UE a aussi voulu éviter ce qui aurait pu ressembler à un ultimatum. Elle n'inscrit que dans un alinéa du texte de la réunion, la possibilité de construire le réacteur sans les tenants du site japonais de Rokkasho-mura (le Japon avec les Etats-Unis et la Corée du Sud) et de se lancer ainsi avec seulement le "nombre le plus large possible de partenaires" s'il n'y avait pas d'accord possible.

Le choix du site d'implantation d'Iter continue donc de bloquer le projet. Alors que la décision était attendue pour février de cette année, on parle aujourd'hui du milieu de l'année prochaine.

Dernières actualités