Si les premiers résultats du meeting estival organisé sur lHippodrome de la Côte dAzur sont très satisfaisants, linquiétude plane actuellement sur le monde des courses. Loccasion de rencontrer François Forcioli-Conti pour évoquer les craintes de la filière hippique face à la prochaine libéralisation des paris. A compter du 1er janvier 2010, les courses ne vivront plus sous le régime du monopole du PMU et les frontières vont souvrir, notamment à la concurrence des bookmakers britanniques. Le Président de la Société des Courses de la Côte craint non seulement que cette ouverture à des prestataires extérieurs, mais aussi louverture des paris à dautres sports qui risque de priver la filière Cheval de lessentiel de ses ressources, et donc de mettre en péril lexistence des courses à Cagnes-sur-Mer, qui ont aujourdhui un poids économique non négligeable.
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L'éco de la Côte.