Le journal du net de Cocobango

Posté ven 03/02/2012 - 09:57
Par admin

Marc Ramella est un précurseur. Bien avant le développement de Facebook, voila plus de 10 ans que cet antibois raconte sa vie et ses voyages sur Internet en envoyant des mails à toutes les personnes figurant dans son répertoire. Des écrits tombés dans les mains d’une éditrice qui flasha dessus et décida de les publier dans un livre intitulé Cocobango.com. Mon journal du net ». Un ouvrage qui retrace dix années de vie de cet éducateur sportif qui décida de tout laisser tomber pour partir à la découverte du monde.

Le journal du net de Cocobango

Marc Rammella alias Cocobango

Si aujourd’hui avec Facebook et les réseaux sociaux, les gens ont pris l’habitude de raconter leur vie sur Internet, il n’en n’était pas de même il y a dix ans. A cette époque, l’antibois Marc Ramella était un précurseur lorsqu’il décida de raconter sa vie et ses voyages en envoyant des mails à toutes les personnes figurant dans son répertoire. Dix ans de correspondance tombés dans les mains d’une éditrice qui, décida de publier ce témoignage aux éditions Vaillant. Cocobango.com. Mon journal du net  retrace ainsi la vie de cet éducateur sportif qui, à la suite d’un voyage à Cuba, décida de tout laisser tomber pour aller à la découverte du monde. Une odyssée qui, après Cuba, le mènera d’abord au Québec et au Mexique, avant de passer par la Grèce en étant GO au Club Med où il découvrit la passion pour les spectacles et l’animation dont il fera plus tard son métier, et où il héritera également de son surnom Cocobango.

L’ordinateur comme réconfort 

Des voyages effectués le plus souvent sans grands moyens et qui n’ont pas été exempts de galères avec son lot de petits boulots. La vie de Cocobango est également marquée par une inconstance dans le travail avec cette incapacité à aller au bout de ses missions. Une attitude qui, couplée à un cruel manque de moyens, seront à l’origine du départ de sa Reine et d’un terrible chagrin d’amour qui déclencha une dépression, mais aussi une grave maladie chronique. Un asthme qui nécessita plusieurs séjours à l’hôpital et provoqua une dépendance à la cortisone. Dans ces moments difficiles, parler à l’ordinateur lui apporta un certain réconfort et donna à Marc Ramella la force de rebondir pour repartir sur les routes, avant de revenir s’installer  à Antibes.  

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