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Loup : les éleveurs azuréens menacent de prendre le fusil (NouvelObs)

Le feuilleton de l'été, celui du loup, continue. Cette fois, ce sont les éleveurs des Alpes-Maritimes qui montent au créneau, estimant que l'abattage de quatre loups, dont un sur le territoire du département, n'était pas suffisant pour régler le problème. Hier vendredi, ils ont adressé un ultimatum au gouvernement, lui demandant de durcir les mesures envers le loup. L'ultimatum expire aujourd'hui vendredi. Si l'enlèvement du loup n'est pas décidé dans les zones de paturage, ils menacent de sortir les fusils pour protéger eux-mêmes leurs troupeaux. La chute mortelle de près de 300 bêtes le 12 août dernier à Saint-Etienne de Tinée a en effet ravivé la colère contre le loup, même s'il n'a pas été explicitement prouvé que le prédateur avait été à l'origine de l'affolement du troupeau.Pour le NouvelObs les éleveurs en colère "dénoncent "l'incompatibilité" entre le loup et leurs troupeaux mais aussi entre leurs besoins et l'absence de soutien du gouvernement depuis le mois de janvier". Dans l'article ("Loups : les éleveurs prêts à sortir les fusils"), est donné le nombre des attaques (51 attaques en 1994, 260 en 2001, 342 en 2002, 225 en 2003 et 179 fin juillet, un chiffre record par rapport aux mêmes périodes les années précédentes selon la DDA). Il est aussi rappelé, ce qui mécontente également les éleveurs, l'arrêt du plan Life et l'absence d'aide gouvernementale pour protéger les troupeaux du loup.


Le feuilleton de l'été, celui du loup, continue. Cette fois, ce sont les éleveurs des Alpes-Maritimes qui montent au créneau, estimant que l'abattage de quatre loups, dont un sur le territoire du département, n'était pas suffisant pour régler le problème. Hier vendredi, ils ont adressé un ultimatum au gouvernement, lui demandant de durcir les mesures envers le loup. L'ultimatum expire aujourd'hui vendredi. Si l'enlèvement du loup n'est pas décidé dans les zones de paturage, ils menacent de sortir les fusils pour protéger eux-mêmes leurs troupeaux. La chute mortelle de près de 300 bêtes le 12 août dernier à Saint-Etienne de Tinée a en effet ravivé la colère contre le loup, même s'il n'a pas été explicitement prouvé que le prédateur avait été à l'origine de l'affolement du troupeau.

Pour le NouvelObs les éleveurs en colère "dénoncent "l'incompatibilité" entre le loup et leurs troupeaux mais aussi entre leurs besoins et l'absence de soutien du gouvernement depuis le mois de janvier". Dans l'article ("Loups : les éleveurs prêts à sortir les fusils"), est donné le nombre des attaques (51 attaques en 1994, 260 en 2001, 342 en 2002, 225 en 2003 et 179 fin juillet, un chiffre record par rapport aux mêmes périodes les années précédentes selon la DDA). Il est aussi rappelé, ce qui mécontente également les éleveurs, l'arrêt du plan Life et l'absence d'aide gouvernementale pour protéger les troupeaux du loup.

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