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Nice : les "Diables Bleus" expulsés de leur caserne (Libération)

Plus d'une centaine de CRS et une quinzaine de membres du GIGN ont procédé à l'expulsion hier vers 6 heures, du collectif artistique des Diables Bleus à Nice, et ont tenter de démolir au bulldozer l'ancienne caserne désaffectée dans lequel le collectif s'était installé il y a cinq ans. Libération, note que l'expulsion demandée par le maire Jacques Peyrat pour les travaux du tramway, s'est déroulée sans incident mais que les "Diables Bleus" se retrouvent maintenant sans solution de relogement. "Pourtant, la friche culturelle avait été remarquée par le gouvernement Jospin en 2000 et, en 2001, le rapport de Fabrice Lextrait sur les lieux alternatifs louait «la reconquête urbaine, politique et artistique» en précisant : «Le potentiel que représente cette aventure doit pouvoir être codéveloppé avec les institutions.» Drac et conseil régional étaient d'accord, mais pas la mairie qui, après avoir reconnu le bien-fondé du lieu et de ses animations, a fait volte-face pour réclamer, cet été, l'expulsion.", commente Libération.


Plus d'une centaine de CRS et une quinzaine de membres du GIGN ont procédé à l'expulsion hier vers 6 heures, du collectif artistique des Diables Bleus à Nice, et ont tenter de démolir au bulldozer l'ancienne caserne désaffectée dans lequel le collectif s'était installé il y a cinq ans. Libération, note que l'expulsion demandée par le maire Jacques Peyrat pour les travaux du tramway, s'est déroulée sans incident mais que les "Diables Bleus" se retrouvent maintenant sans solution de relogement. "Pourtant, la friche culturelle avait été remarquée par le gouvernement Jospin en 2000 et, en 2001, le rapport de Fabrice Lextrait sur les lieux alternatifs louait «la reconquête urbaine, politique et artistique» en précisant : «Le potentiel que représente cette aventure doit pouvoir être codéveloppé avec les institutions.» Drac et conseil régional étaient d'accord, mais pas la mairie qui, après avoir reconnu le bien-fondé du lieu et de ses animations, a fait volte-face pour réclamer, cet été, l'expulsion.", commente Libération.

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