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Pas de quotidiens nationaux dans les kiosques pour cause de grève aux NMPP

Vous ne trouverez pas votre quotidien national dans les kiosques aujourd'hui mercredi. Ni Le Figaro, ni Le Monde, ni Les Echos, ou Libé, ou L'Equipe, ou l'International Herald Tribune ou L'Humanité ou autres. En cause : un appel à une grève de 24 heures, "dans un premier temps", des ouvriers du Livre CGT des NMPP (Nouvelles messageries de la presse parisienne), la principale société chargée de la distribution. En désaccord avec le Syndicat patronal de la presse quotidienne nationale (SPQN) autour de la modernisation des imprimeries de ce secteur, ce syndicat a appelé à un arrêt de 24 heures dans la distribution des journaux à partir de mardi.

Vous ne trouverez pas votre quotidien national dans les kiosques aujourd'hui mercredi. Ni Le Figaro, ni Le Monde, ni Les Echos, ou Libé, ou L'Equipe, ou l'International Herald Tribune ou L'Humanité ou autres. En cause : un appel à une grève de 24 heures, "dans un premier temps", des ouvriers du Livre CGT des NMPP (Nouvelles messageries de la presse parisienne), la principale société chargée de la distribution. En désaccord avec le Syndicat patronal de la presse quotidienne nationale (SPQN) autour de la modernisation des imprimeries de ce secteur, ce syndicat a appelé à un arrêt de 24 heures dans la distribution des journaux à partir de mardi.

 

Hier, ainsi, l'édition du quotidien Le Monde datée de mercredi, n'a pu être imprimée et n'était disponible hier qu'en version électronique (gratuite) à partir du site Web Lemonde.fr. Aujourd'hui la plupart des quotidiens qui ont une version payante offraient aux internautes l'intégralité en ligne du journal du jour. Ainsi entre autres pour les quotidiens économiques comme Lesechos.fr ou Latribune.fr

 

Dans un communiqué, les Editeurs rappellent par ailleurs "qu’une non parution des quotidiens fait uniquement le jeu des médias concurrents de la presse quotidienne nationale. Les quotidiens peuvent continuer à toucher leurs lecteurs par internet. La disparition des éditions papier de ces mêmes quotidiens entraînera par voie de conséquence la disparition immédiate des métiers qui les impriment". Le désaccord avec les éditeurs porte selon le SGLCE-CGT, sur "un texte sur la modernisation des imprimeries prévoyant un volet de formation mais qui est utilisé essentiellement pour justifier des licenciements".

 

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