Pour ne plus se perdre sur Sophia !
NBB Communication, jeune agence de publicité de la technopole, prépare une carte interactive des entreprises du parc disponible sur le Net et sur e-cards. Cliquez et le chemin d'accès vous sera donné...
La galère ! Se rendre dans une entreprise de Sophia Antipolis, pour ceux qui ne connaissent pas la technopole, se résume souvent à un véritable jeu de piste. Depuis sa création il y a plus de trente ans, Sophia, le royaume des nouvelles technologies de la communication, bute sur ce problème de signalisation. Comment se diriger, comment se retrouver, comment éviter d'errer pendant plus d'une heure au milieu de la garrigue, sur des routes qui se ressemblent toute un peu quand on vient de l'extérieur.C'est sur ce créneau que se place une nouvelle agence de communication sophipolitaine. NBB va ainsi lancer la première carte interactive des entreprises de Sophia Antipolis. Un aperçu en est donné sur le site de démonstration Sophiaplace.com. "Le site a été conçu comme un moteur de recherche", note Julien Masson, directeur de la communication de l'agence. "Avec trois cases. L'une pour saisir la ville de départ, ce qui correspond aux sept points d'entrée de la technopole; la seconde pour choisir le secteur d'activité et la troisième pour retenir l'entreprise""Il ne vous reste plus alors qu'à cliquer. Un plan détaillé de Sophia Antipolis apparait avec un tracé et un itinéraire pour arriver "à bon port" et à l’heure. Ce service mettra fin au téléguidage des personnes égarés sur le parc". La carte est développée sur deux principaux supports : des e-cards (petit CD Roms sous forme de carte de visite) et un site internet. NBB Communication compte ainsi recenser l'ensemble des entreprises du parc. Un service de base, gratuit, permettra d'obtenir le chemin d'accès de chaque entreprise sophipolitaine, tandis qu'un service payant, sera proposé aux entreprises pour y ajouter de l'information. NBB communication, qui compte lancer ce nouveau service en juin 2002 avec l'ensemble des fonctionnalités, vise même un peu plus loin. A la lumière de l'expérimentation sophipolitaine, elle envisage de dupliquer le modèle aux autres parcs d'activité.
