Sophia : l'ETSI se positionne sur l'e-santé et la télémédecine

Lancement de services de télémédecine en Europe et à travers le monde, développement de standards, normes et spécifications pour la télémédecine nécessaire pour assurer la confidentialité, la qualité de transmission de données médicales, l’interopérabilité entre les dispositifs médicaux : ce sont les sujets qui seront abordés les 6 et 7 mai à l'ETSI à Sophia Antipolis à l'occasion d'un atelier de e-santé et télémédecine.

L’atelier d’e-santé et télémédecine, Digital Agenda for Europe, vise aussi à améliorer la qualité des services médicaux en Europe, à réduire les coûts médicaux et à favoriser l’autonomie. L’augmentation des services de télémédecine est liée à la généralisation du numérique dans tous les secteurs de la vie quotidienne. La révolution numérique a déjà permis de développer fortement la télémédecine, mais selon l’Organisation Mondiale de la Santé, seuls 8 % des patients ont aujourd’hui accès à la télémédecine : téléassistance, télésurveillance…

L’ordre du jour est donc de déployer fortement les services de télémédecine, avant 2020 en Europe. Le succès du déploiement de la télémédecine dépendra des standards et normes crées puis mis en place. Un domaine dont l'ETSI est aujourd'hui un des grands acteurs.