Une puce qui "voit" et qui "pense" (TF1)
Sur le site de Tf1.fr, un coup de flash sur le GVPP, un nouveau procédé de vision électronique mis au point par la société française BEV. "Une puce de vision contre l’insécurité et les accidents routiers" insiste sur le fait que ce système s'inspire de la biologie du cerveau et permet des applications dans les domaines de l'automobile, la sécurité ou la robotique.GVPP est basé sur une "puce" qui "analyse non seulement les mouvements à partir de signaux fournis par une caméra, mais assure aussi la fonction d'anticipation pour chaque pixel. Le procédé peut traiter sept paramètres indépendants — forme, taille, luminance, couleur, teinte, orientation et vitesse du mouvement — pour adapter ses capacités perceptives à l'action en cours. L'ensemble de ces fonctions est combiné et traité en temps réel par le système. D'où la possibilité de détecter par exemple des "stationnarités" anormales sur un quai de métro (blessé ou vendeur à la sauvette), d'alerter le conducteur d'une voiture à la moindre baisse de vigilance, de reconnaître un visage dans un aéroport. Un troisième œil…