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Villa Leopolda : la "vente du siècle" devant le tribunal de grande instance de Nice

La transaction immobilière avortée de ce qui s'est affiché comme la vente du siècle, est arrivée mercredi devant le tribunal de grande instance de Nice. Elle tourne autour des 39 M€ versés en garantie pour l'achat de la villa Leopolda, à Villefranche-sur-mer. Cette vente immobilière avait fait le tour de monde lors de l'été 2008 de par son montant astronomique. Le chiffre qui avait alors couru était de 500 M€. C'était un peu exagéré mais le record toute catégories était bien battu ainsi que cela s'est révélé par la suite : 370 M€ pour la villa en elle-même plus 20 M€ pour le mobilier. La bagatelle de 39 M€ d'arrhes avait été versée par l'acquéreur, dont le nom était resté en premier lieu mystérieux, le milliardaire russe Mikhaïl Prokhorov.

La transaction immobilière avortée de ce qui s'est affiché comme la vente du siècle, est arrivée mercredi devant le tribunal de grande instance de Nice. Elle tourne autour des 39 M€ versés en garantie pour l'achat de la villa Leopolda, à Villefranche-sur-mer. Cette vente immobilière avait fait le tour de monde lors de l'été 2008 de par son montant astronomique. Le chiffre qui avait alors couru était de 500 M€. C'était un peu exagéré mais le record toute catégories était bien battu ainsi que cela s'est révélé par la suite : 370 M€ pour la villa en elle-même plus 20 M€ pour le mobilier. La bagatelle de 39 M€ d'arrhes avait été versée par l'acquéreur, dont le nom était resté en premier lieu mystérieux, le milliardaire russe Mikhaïl Prokhorov.

 

La signature définitive devait intervenir au plus tard le 20 janvier 2009. Elle ne s'est jamais faite. Restent maintenant quand même, les 39 M€ versés auprès de la propriétaire, Lily Watkins, veuve du célèbre banquier Edmond Safra, somme que Mikhaïl Prokhorov voudrait évidemment récupérer, mettant à l'appui ses arguments juridiques.

 

Pour Le Figaro la bataille entre deux grosses fortunes du monde autour de cette vente manquée est désormais engagée par avocats interposés. "Alors que l'audience de mercredi doit voir s'opposer les voix, côté Lily Safra, de Me Georges Kiejman et Me Jean-Michel Darrois et, côté Mikhaïl Prokhorov, de Me Jean-Pierre Gastaud et Me Denis Chemla, l'idylle immobilière s'est jouée selon l'adage du poète Edouard Pailleron : "Des grands mots avant, des petits mots pendant et des gros mots après", ironise le quotidien. Et de noter qu'à la Leopolda, "les 27 vigiles, jardiniers, maîtres d'hôtel et femmes de chambre qui avaient été licenciés en vue de la vente auraient été réembauchés dans l'attente du jugement."

 

Lire dans Lefigaro.fr : "L'infortune de la villa Leopolda devant le tribunal"

 

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