Vue sur la course aux parrainages dans les A.-M. (Metro.fr)
A chaque présidentielle le même scénario : la course aux 500 signatures. "Dans les Alpes-Maritimes, les ténors politiques ne cachent généralement pas leurs parrainages", note Metro qui a cherché à savoir qui parrainait qui. Côté UMP, beaucoup de signatures de députés, sénateurs et maires de grandes villes du département sont au bénéfice de Nicolas Sarkozy, dont le comité de soutien est présidé par Christian Estrosi (Michèle Tabarot, José Balarello, Bernard Brochand, etc). Seule sortie du rang : Jérôme Rivière, député UMP (mais il a perdu l'investiture) sapprête à envoyer son bulletin de parrainage à Philippe de Villiers, dont il préside déjà le comité national de soutien. Côté UDF, Rudy Salles, député UDF de Nice, a naturellement parrainé François Bayrou.
Côté PS le premier secrétaire de la fédération, Patrick Allemand, a très tôt donné sa signature de premier vice-président du conseil régional à la candidate socialiste. Patrick Mottard (Gauche Plurielle) sapprête, lui aussi, à parrainer Ségolène Royal. Du côté des maires des petites communes, la discrétion est plutôt de mise. Ces élus sont réservés, explique, cité par Métro, Jean-Paul David, président adjoint de lassociation des maires des Alpes-Maritimes et à la tête de lassociation des maires ruraux. Le problème est lié à lamalgame entre parrainage et soutien"...
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