WiziShop accompagne les e-commerçants

Posté ven 01/02/2013 - 08:33
Par admin

La start-up niçoise vient de boucler sa première levée de fonds. Grégory Beyrouti, président fondateur, sera l’invité de startup-show le jeudi 7 février. Vous pourrez lui poser vos questions en direct de 14h à 14h30.

WiziShop accompagne les e-commerçants

Le secteur de l’e-commerce a le vent en poupe. En 2012, il a enregistré une croissance de 19% pour le chiffre d’affaires réalisé en France, de 17% pour le nombre de nouveaux sites créés (sources FEVAD). Cette bonne santé fait les affaires de WiziShop, jeune pousse niçoise qui propose des solutions clé en main pour les e-commerçants qui souhaitent se lancer dans la vente en ligne.

Créée en 2008 par trois associés, Grégory Beyrouti, René Cotton et Cédric Piazza, WiziShop a déjà convaincu plus de 1600 e-commerçants et compte proposer en 2013 à ses clients l’assistance de « business coach » pour les aider à booster leur chiffre d’affaires. Il va falloir pour cela étoffer les équipes afin d’assurer le support.

La première levée de fonds bouclée début janvier 2013 va y contribuer. Quatre fonds se sont associés pour apporter 300 000 euros, ce n’est pas tant le montant, plutôt modeste, qui joue en faveur de WiziShop, mais la qualité des investisseurs. On retrouve, Kima Ventures, le fonds de Xavier Niel et Jérémie Berrebi, OREFI, le fonds de Jacques-Antoine Granjon, Pdg de Vente-privée.com, Jaïna Capital créé par Marc Simoncini (fondateur de Meetic)  enfin  Olivier Rosenfeld (ancien dirigeant de Free). De solides parrains pour accompagner le développement de la start-up niçoise qui envisage de déployer ses activités à l’international dans les prochains mois.

Les fondateurs de Wizishop ambitionnent de tripler le nombre de leurs clients en 2013 avec pour objectif l’ouverture de quelque 200 nouvelles boutiques chaque mois. Le modèle économique choisi repose sur la perception d’un pourcentage du chiffre d’affaires réalisé par les e-commerçants, avec un système de paliers selon le volume d’affaires.

Christiane Navas

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