Start-up : le Sentier s'organise comme les districts italiens
Une bonne initiative que celle des start-up du Sentier à Paris, initiative présentée dans un article de La Tribunedu 8 janvier 2001 dans l'article /www.latribune.fr/Tribune/Online.nsf/Articles/20010108167941?OpenDocument"> Des start-up du Sentier s'unissent dans un système productif local'. Une quarantaine de jeunes pousses ont ainsi monté une nouvelle structure, un SPL (Système productif local) qui fait office d'interlocuteur face aux pouvoirs publics et qui organise les synergies entre les quelque quinze cents start-up du secteur. Le principe est celui des 'districts italiens' qui permettent à des PME regroupées de damer le pion à des multinationales.Les start-up, est-il expliqué, ' ont accumulé les casquettes pour tenter de répondre à des demandes de prestations globales, à un moment où le marché des nouvelles technologies était encore peu structuré. C'est une époque révolue. Aujourd'hui, plus personne n'a intérêt à tenter d'assurer le référencement, le conseil, la vente, l'analyse de contenu. Il faut inciter chacun à se concentrer sur le créneau où il est le plus efficace.' Encouragé par la DATAR, le Système Productif Local, facilite les regroupements dans le cadre par exemple d'un appel d'offre. Il joue également ' le rôle classique dévolu à tous les regroupements de PME : accès à la formation professionnelle, veille technologique, opération de communication, éventuels achats groupés, etc.'. Une idée à creuser pour Sophia.
